Une tribune, une soif commune d'expression.

2 juillet 2011

Buck vous parle d'Asganar Offline

Comme à chaque été depuis maintenant deux ans, j’interromps une bonne partie de mes projets personnels pour relancer celui d’Asganar Offline. Questionné par plusieurs personnes à ce sujet, je me suis pris de nostalgie pour ce vieux projet que nous avions jadis et qui a alimenté nos imaginations pendant près de 10 ans. Voici Asganar Offline :


Bon, maintenant ce que les gens veulent voir!

Remercions Jade pour ce magnifique logo! C'est avec nul autre qu'RPG maker XP, que nous pouvons désormais exporter Asganar dans l'âge numérique. Vous voulez des détails? C'est un A-rpg avec une quêtre principale et bon nombre de side-quest. Vous choisissez votre personnage, sa classe, sa spécialisation ainsi que sa coterie. C'est un sublime mélange de l'ancien monde d'Asganar (Celui pour cours à Fofo) et du nouveau (celui pour les vrais GN). Le jeu est complété environs à 15% et si la tendance se maintient, devrait atteindre les 50% d'ici la fin de l'été, donc ne désespérez pas, il arrive... à pas de fourmis, mais bon. Assez parlé, voici des extraits!

Des lieux familiers!

Des combats excitants dans un environnement dynamique!

Dangers!

Et bien sûr, Blate l'elfique!






27 juin 2011

Demain peut toujours nous appartenir

Je dédie à tous les élus souverainistes de l'Assemblée nationale (même Amir et les libéraux qui s'assument pas !) cette chanson que la plupart doivent déjà connaître. J'ai déjà avancé une partie de ma pensée sur les évènements récents, la Providence nous dira bien assez tôt le dénouement de cet épisode de la vie politique du Parti Québécois.



Je ne pense pas que c'est pour bientôt un caucus parallèle «élargis» des tenants du OUI, mais je perds pas espoir que le promotion de l'Indépendance nationale va sortir plus forte de ce mois de juin politiquement explosif.

Demain nous appartient, à partir d'aujourd'hui
si vraiment on y tient

25 juin 2011

Coït interrompu

À quelques jours de la Fête nationale, le Nouveau Parti démocratique ont émis un communiqué titrant (triomphalement) Les Néo-Démocrates s'engagent à forger une relation de nation à nation


... en parlant du Canada et des Autochtones.

Par souci d'équité, mentionnons qu'il doit y avoir quelque part dans la Déclaration de Sherbrooke (introuvable sur le site du NPD) ou dans le programme du parti (tout aussi introuvable sur le même site, plutôt curieux...) un alinéa obscur qui admet que l'existence de la nation québécoise. Plusieurs communiqués la mentionne lorsqu'on fait une recherche croisée avec Google, mais aucun texte formel sur la question ne m'a été retourné.

19 juin 2011

Simplement voter aux générales

J'ai dernièrement présenté les joies de la version simple de Wikipédia. Avec tout ce qui se passe au Parti Québécois et la menace d'élections anticipées à Québec pour profiter de la tempête et couper l'herbe sous le pied de Legault, voici un grand moment de la démocratie, une définition simple des choix politiques qui risquent de s'offrir au peuple québécois lors du prochain scrutin.

12 juin 2011

Cinéphile Buck dans... Barbarella

Mesdames, voici une mise en situation toute simple: Vous êtes perdue au milieu d'une planète étrange et hostile. Soudainement, un étranger s'approche de vous. Que faites-vous?

Savoir simple

Vous connaissez la version «simple» de Wikipédia ? En voici un exemple rapide !

Prolifération nucléaire

Version régulière - Terme maintenant utilisé pour décrire la dissémination des armes nucléaires, du matériel fissible et du savoir-faire technique nucléaire pouvant servir à la confection d'armes, à des États qui ne sont pas des «États nucléarisés» au sens du Traité sur la non-prolifération des armes atomiques, ou TNP.

Version simple -Quand un pays commence à faire des patentes nucléaires. À droite il y a une carte qui montre c'est qui qui a des réacteurs et des armes nucléaires, et c'est qui qui pourrait en avoir. Quand un pays commence à faire des armes nucléaires, ils deviennent une puissance nucléaire.

C'est peut-être un peu trop technique pour le commun des mortels, attendez, il y a mieux !

9 juin 2011

La réalité s'approche de la fiction

La beauté des parodies et des satires, c'est qu'elles cachent toujours un fonds de vérité. Vous me direz peut-être que la comparaison est un peu bancale, mais je vous invite à mettre en relief cette couverture d'une critique anarchiste du Parti communiste révolutionnaire, un groupuscule maoïste du Québec, et cette fausse publicité du Parti marxiste-léniniste du Canada réalisée par l'humoriste Rick Mercer.
(Source : Éditions Ruptures)

Cliquez ici pour le début de la critique et, pour l'oeuvre complète


6 juin 2011

Souffrir pour être belle

Départ sur les chapeaux de roue pour la semaine politique : Trois députés hautement ministrable de l'aile parlementaire péquiste décident qu'il n'est plus dans le sens de leur conviction de siéger comme péquiste à l'Assemblée nationale. La nouvelle a fait l'effet d'une bombe dans les médias, jette un pavé dans la mare déjà sérieusement trouble de l'agenda autocratique du maire Labeaume et doit avoir déclenché un tsunami dans la blogosphère souverainiste et politique québécois (je m'en suis gardé avant d'avoir moi-même fait ma sortie sur le sujet).

26 mai 2011

Cinéphile Buck dans... Pirates des Caraïbes

Cher lecteur, je ne cacherai pas que je faisais partie des gens qui attendait ce film avec anticipation. Certes, après le troisième film, je me disais que la série prendrait fin et ne pourrait plus couler plus profondément dans l'abîme. Puis... J'ai vu le trailer du quatrième. Plusieurs choses m'ont fait changer de cap. Premièrement, l'absence d'Orlando Bloom et de Keira Knigthley. Deuxièmement, un nouveau réalisateur et finalement: le trailer était très bon. La grande question... est-ce que ce film a su livrer? Voyons ensemble...

Au moins ils centrent ce que l'on veut voir!

Présentation

Le film débute avec capitaine Jack Sparrow (Johnny Depp :D) en pleine cavale à Londres pour délivrer son bon ami depuis toujours, Gibbs (Kevin McNally). Mais les deux ne font pas longue route et son capturer par les autorités du roi George II. Sparrow est alors offert d'aider une expédition pour atteindre la fontaine de jouvence avant les rivaux espagnols. À ce moment, nous retrouvons le désormais corsaire du roi, Hector Barbossa (Geoffrey Rush). Ce dernier est imposé comme capitaine d'expédition. Le bon vieux Jack refuse de tel condition et prend la fuite de manière très peu plausible, mais amusante néanmoins. De retour dans les rues de Londres, Sparrow apprend que l'on usurpe son identité afin de monter un équipage. Capitaine Jack démasquera rapidement l'imposteur et révèlera sa véritable identité: Angelica, son ancienne flamme (Penélope Cruze :D :D). Cependant, après un brève démêlée avec des soldats, Angelica piège Jack Sparrow se réveille à bord du Queen Anne's Revenge, le vaisseau du redoutable barbe noire (Ian McShane). Donc, S'en suit une ultime course vers la fontaine de jouvence entre des espagnols que nous ne connaissons pas, Barbossa guidé par Gibbs, et Barbe Noire guidé par Sparrow.

Critique

Première déception marquante: Pas de combat naval. Ce qui était parmi la seule réconciliation avec les derniers films, se trouve absent de celui-ci. Or, au bout de compte, ce n'est pas trop grave, ils n'auraient pas eu trop leur place au sein du film. Le problème majeur vient dans l'histoire. D'accord, c'est un film de Disney, mais j'ai vu tellement d'occasion que le film aurait pu prendre un virage plus noir et suis resté plutôt déçu. De plus, les éléments surréalistes et fantastiques sont complètement hors de contrôle! Bien entendus ils faisaient partie intégrale des films précédents. Ici, ils sont pauvrement inclus, et non expliqué. Pourquoi Barbe Noire peut-il animer les cordes de son navire avec son épée? Pourquoi fait-il du voodoo? Pourquoi des officiers zombies sur son navire???? Aucune réponse. Finalement, ils devaient inclure ce maudit prêtre... un personnage aussi uni-dimensionnel que mon billet de cinéma, ne sert à rien à l'histoire (sauf pour du remplissage) et est énervant à souhait. Je suis persuadé qu'il a été inclus dans le scénario pour pallier l'absence d'Orlando Bloom. Finalement, que dire de Barbe noire? Cliché, vidé d'émotion, on dirait qu'il est blasé tout le long du film (le vrai Edward Teach me semble mille fois plus intéressant que ce personnage).

Mais bon, tout n'est pas complètement négatif. Johnny Depp est encore une fois brillant et tout aussi fabuleux. Ses scènes d'actions sont divertissantes et la musique qui les accompagnent est encore très bonne. Les scènes avec Jack Sparrow et Barbossa ensemble sont très bien réussi dans l'ensemble. Les décors sont bien réussis dans l'ensemble. Touche personnel, j'aime leur utilisation accrue de Gibbs (selon moi un des personnages les plus intéressants de la série).

Verdict

Non ce film ne parvient pas à ramener à la surface l'épave de la série. Trop d'utilisation de magie sans explication et de Deus ex-machinas. NÉANMOINS! Ça vaut le coup d’œil. Il parvient à bien divertir, car l'action est bonne et les blagues réussissent à faire rire.

21 avril 2011

Gare au Bloc : Dépassement par la gauche !!

Comme toute campagne électorale qui se respecte, la fédérale 2011 nous amène un rebondissement inattendu : le NPD prendrait la tête des intentions de votes au Québec. Avant de crier à la remise en question de la suprématie bloquiste sur les sièges du Québec, il y a un pas que plusieurs franchissent allégrement.

La question est cependant plutôt nouvelle, surtout pour le Bloc, qui avait déjà été pris par surprise lorsqu'il avait dû changer son habituel discours anti-libéral pour contrer la poussée conservatrice qui a mené Stephen Harper au pouvoir. Désormais, le Bloc est menacé d'un dépassement par la gauche, ce qui doit désarçonner quelques stratèges sur la rue Crémazie...

Jean-François Lisée a écrit sur le flirt des électeurs bloquistes avec le NPD un excellent article que je vous recommande vivement. Moi-même, je crois bon vous communiquer cette synthèse qui peut être utile pour départager deux formations politiques qui ont pourtant un programme très similaire :


Parti
Bloc Québécois
Nouveau Parti Démocratique
Idée maîtresse
Souveraineté du Québec
Social-démocratie
Type de parti
Parti d’intérêts (le Québec)
Parti d’idées (gauche)
Loyauté première
Le Québec
Justice sociale
Loyauté particulière
Le Parti Québécois
La consolidation des NPD fédéral, provinciaux, voire municipaux
Partage des compétences
Restreindre l’ingérence fédérale dans les champs provinciaux
Utiliser l’ingérence fédérale pour dicter l’implantation des programmes sociaux
Transition du Québec à l’indépendance
Victoire du OUI par 50%+1 des voix dans un référendum (tel que défini par le PQ)
Consentement du Parlement fédéral et de l’ensemble des provinces (tel que défini dans la Loi Dion sur la clarté)
Défendra toujours…
Une position unanime de l’Assemblée nationale
Une position unanime des syndicats canadiens-anglais

En termes négatifs, le Bloc sera prêt à laisser passer un recul de la justice sociale pan-canadienne pour ne pas affaiblir le Québec. Le NPD sera prêt à affaiblir les droits du Québec pour améliorer le sorts des gens en Colombie-Britannique, en Ontario, à Terre-Neuve et j'en passe...

En termes positifs, les nationalistes progressistes devront choisir l'étiquette qui leur paraît la plus importante.

La phrase à retenir selon moi : Le Bloc est progressiste sauf si cela l'empêche d'être nationaliste, le NPD n'est jamais nationaliste, même si cela ne l'empêche pas d'être progressiste.

18 avril 2011

Cinéphile Buck dans... Quest for the Mighty sword

Les amis, il ne nous reste qu'un de ces désastreux films à voir. Le dernier ET le moindre de la série. Chose certaine, c'est celui qui possède l'historique le plus intéressant. Après l'hécatombe cinématographique qu'est Iron Warrior, Joe d'Amato a repris les rênes de la série Ator et nous présente ce film comme étant le véritable troisième film d'Ator. MAIS! Peut-être que Joe voulait enfin combiner ses projets, car ce film est également une troisième partie d'une série entièrement différente de film!

Comment? Une autre série obscure que Joe d'Amato a produite est celle de Troll, en commençant par l'infâme Troll 2. Lorsque l'on arrive à Troll 3, deux films partagent cette "honneur". Troll 3, alias Contamination .7 (qui ne contient même pas de Troll...) et celui-ci! Quest for the Mighty sword n'a absolument aucun rapport avec la série Troll, mais recycle les costumes de Troll 2, alors, pour les standards de série B italien, ça compte pour une suite? Bon, assez parlé de ça, passons au film.

Présentation

Le film ouvre et immédiatement l'inconfort s'installe. Bon vieux Miles O'keefe n'est plus Ator, à la place, nous avons Eric Alan Kramer (vous savez, Petit Jean dans Robin des Bois, Héros en collant?). Le genre d'exploitation a changé également, plutôt que d'avoir un rip-off de sword and sorcery à la Conan, nous avons un genre Fantastique dans un monde pseudo Arthurien. À l'ouverture du film, Ator est un vieux roi et s'apprête à juger par l'épée des criminels. Le roi possède l'épée mythique du Graal (subtile hein?), épée qui lui a été donné par un dieu du nom de Thorn. Malheureusement, Ator révèle dans sa première ligne de dialogue qu'il a rêvé que Thorn reviendrait réclamer son épée.

Comme de fait, Thorn apparaît via mauvais montage et doublage. Ator refuse de lui rendre son épée et Thorn le tue par lance et scinde l'épée en deux par le fait même. Thorn révèle par la suite qu'il est un costume de Troll 2! Loin d'être divin à mon avis, mais bon! Joe d'Amato avait bien le droit de faire ce qu'il voulait dans son foutu film. La reine et son fils (également nommé Ator), doivent quitter le royaume. La mère décide de confier le petit Ator avec un Troll du nom de Grendel qui vit dans une caverne avec un corbeau et une trame sonore hilarante et hors contexte. La reine laisse le petit dans les soins du Troll en échange de la promesse que Grendel reforgera l'épée magique lorsqu'Ator atteindra ses 18 ans (je vous épargne le reste de l'échange, mais c'est plutôt dégoûtant...).

Avancement dans le temps, et une femme... inconnu révèle à Ator son origine. Celui-ci décide de tuer son mentor une fois qu'il obtiendra l'épée magique. S'en suit un séquence digne d'un cartoon. Finalement, hors de la logique même du film, Ator reforge lui-même l'épée et assassine Grendel de sang froid. Désormais libre et en possession de l'épée magique, Ator parcourt les contrées sauvages en combattant des robots, des costumes de Godzilla et photos d'archives. Il reçoit également la quête de libérer Dehanera, une... magicienne, sage, guerrière, valkyrie. En tout cas, la seule personne qui avait plaidé pour la vie de Ator père. Ator fils bien entendu la libère d'un sommeil profond avec une scène à la belle aux bois dormant.

L'intrigue principale implique alors Dehanera qui est l'objet de désir d'un roi hideux (son visage est couvert de verrues!). Le reste du film implique Ator qui tente désespérément de la sauver des griffes du roi Gunther.

Critique

Ouf... Que dire qui n'a pas été dit pour les films précédents? Décors mauvais, histoire disjointe et terriblement monté, dialogue affreux et scènes de combat bidon. Ce film de fait guère mieux que les prédécesseurs.

Verdict

Avec ceci en tête, nous pouvons enfin clôturer la série d'Ator... MAIS QUELLE ESPÈCE DE MERDE!!!!! Le pire dans toute cette histoire, il y a eu un effort considérable de recherche pour trouver ses films et une volonté de les écouter un à la suite de l'autre. Ce fardeau, je l'ai endurer et je l'ai provoqué. Il y a ces choses affreuses que nous devons faire dans la vie simplement pour dire "Je l'ai fait". Eh bien, je l'ai fait! Et je ne crois pas que je referais quelque chose d'aussi terrible de si tôt.

Il est intéressant de noter que le dernier film d'Ator se termine sur une fin ouverte, comme s'il avait prévu en faire un cinquième. Malheureusement, Joe d'Amato n'est plus de ce monde, donc l'idée cauchemardesque d'Ator V ne verra probablement pas le jour...

... À moins que je la crée moi même!!!!! Je n'ai pas de talent cinématographique, mais je suis certain de pouvoir faire mieux que ce qui a déjà été fait!

22 mars 2011

Cinéphile Buck dans... Iron Warrior

Poursuivons notre Ator-orama avec le troisième film de la série. Si le premier et le deuxième ont fait un effort louable et raté pour essayer de se suivre, le troisième a simplement décider de tout jeter le peu d'histoire qu'il avait et faire une autre histoire avec un personnage du nom de Ator. Comment cela ce peut-il? Imaginez donc que le troisième film d'Ator ne vient pas de Joe d'Amato, mais d'Alfonso Brescia. Oui les amis, ce film est une "rip-off" d'une série de film qui sont déjà des rip-off. Où s'en va le monde???



Peut-être que l'absence de Joe d'Amato va nous ajouter un peu plus de qualité. C'est ce que je me suis dit... mais OH QUE NON! C'est pire. Si les autres films avaient un semblant de trame narrative et de continuité, celui-ci n'est qu'un ramassis confus de n'importe quoi.

Présentation

Le film s'ouvre sur un générique avec de la musique très prometteuse et entrainante, mais le tout dégringole assez rapidement après. Le film commence dans ce qui ressemble à un discothèque des années '80 ou un groupe de sorcière font... quelque chose. Une des sorcière méchante (Qui ressemble drôlement à Laurence Jalbert) se libère et entre dans le monde. Elle part à l'attaque du royaume de... quelque part. Soit disant parce qu'elle a besoin de la princesse ou quelque chose (c'est très confus). Laurence Jalbert a une arme secrète. Un homme avec un masque de fer (IRON WARRIOR!!!) invincible en combat. La princesse échappe à Iron Warrior et retrouve Ator. Ce nouveau Ator a un costume et une personnalité complètement différents des films précédents. Maintenant, Ator ne semble que poser au sommet d'une falaise devant un miroir. Quand la princesse le trouve, ils doivent partir chercher... quelque chose, pour emprisonner Laurence Jalbert de nouveau et vaincre Iron Warrior. Le tout est entre coupé avec des scènes de combat bidon.

Critique

Comme vous avez probablement pu lire, il est absolument impossible de suivre ce qui se passe dans ce maudit film! C'est un tout confus rempli d'effets spéciaux merdiques et une trame sonore hilarante. Le jeu d'acteur est complètement absent et les scènes de combat si ennuyante. Pour les pervers de ce monde, la princesse porte la même robe de soie translucide qui se fait déchirer souvent et Miles O'keefe est 100% du film torse nu. Donc au moins de quoi se rincer l'œil de temps en temps.

Verdict

Si vous avez déjà écouté les deux premiers, vous ne perdez rien à voir ce film (Et encore moins à lire ces critiques). Vous y retrouverez tous les éléments que vous commencez peut-être à aimer maintenant. Pour le reste, c'est mauvais, mais prévisible.

13 mars 2011

Cinéphile Buck dans... The Blade Master

Il y a certains indices qui nous indiquent souvent si un film va être bon ou non. De fait, il n'est jamais bon signe quand un film possède plus d'un titre. Pourquoi? La seule raison est pour éviter les mauvaises critiques par bouche à oreille. Je ne sais pas qui voulais une site au "chef d'œuvre" qu'était Ator l'Invincible, mais lorsque Conan le Destructeur fit son apparition en 1984, l'infâme Joe d'Amato décida de sortir la suite d'Ator. Il est intéressant à noter que le film Conan le Destructeur est nettement inférieur à son prédécesseur et je crois que Joe a décidé de faire pareil avec Ator L'Invincible II.

Attendez! N'aie-je pas appeler cette critique de film The Blade Master? Eh bien! Il y a nombreux titre alternatif pour se film. Tous aussi pourri les uns que les autre. Ator l'Invincible II, The Blade Master, Cave Dwellers... Ouf. Tenez vous bien. Le contrat de Miles O'keefe pour paraître dans des films de Joe d'Amato tirait à sa fin lors du tournage de ce film. Si bien que le tournage a débuter entièrement sans scénario et la presque totalité du film a été improvisé et le tout fut tournée en deux semaines. Laissez moi vous dire: ÇA PARAIT!!!!!

Présentation

Le film débute dans le château de... quelqu'un, un savant/alchimiste/magicien qui soit disant aurait été le mentor d'Ator (Oui, Ator est magicien maintenant, parce que....????). Le château en question se fait attaquer par les forces du méchant Zor qui cherche à s'emparer d'une des découvertes du savant. Avant de tomber au main de ses ennemis, le savant mandate sa fille Mila de partir à la recherche d'Ator, mais pas avant de passer 20 minutes à nous résumer le premier film et nous en montrer des extraits. Mila doit rejoindre le "bout du monde" où c'est là que se trouve Ator... Endroit qu'elle parvient à atteindre en ~5 min et ce, en étant mortellement blessé! Ator vit maintenant avec un asiatique muet, ce personnage est entièrement inutile et ne contribue rien à l'histoire... À vrai dire, peu de chose contribue à l'histoire. Les scènes sont divisés entre Ator qui combat des monstres génériques ou des méchants de Zor, ou bien des scènes de Zor et le savant dans le château en train d'avoir des débats philosophiques douloureusement forcé.

Tel qu'il en était dans le premier, la fin de ce film est absolument hilarante. Lorsqu'Ator, le chinois muet et Mila atteignent le château, ils se voient incapable d'y entrer à cause des gardes. Ator prépare alors son plan de se construire du deltaplane. Cette conception anachronique n'est même pas caché! Ils ont pris un véritable deltaplane du XXième siècle et on mis ~10 min de vol où l'on voit clairement que c'est un vrai deltaplane. Vu de proche, on s'aperçoit qu'ils ont tenté de créer un deltaplane rudimentaire en toile/corde/bois. Alors, pourquoi autant de plan de vue où l'on voit le vrai engin???? Oh et ce deltaplane est un bombardier, car Ator largue des explosifs sur les photos d'archives de château. Je n'ai jamais autant ris de bon cœur.

Critique

C'est affreusement mauvais, mais comme dans le cas du premier film, c'est un mauvais qui est tout de même agréable à regarder en état d'ébriété. Un exemple parfait de film qui est drôle malgré lui.

Verdict

Si vous êtes curieux, ça vaut le coup d'oeil. Si ce n'est que pour rire de toutes les erreurs grossière ou du scénario improvisé bidon. Encore une fois, c'est drôle comme film. Malheureusement, le troisième film d'Ator ne nous donnera pas cette satisfaction.

10 mars 2011

Impressions de la 3DS / 3DS impressions.

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ENGLISH VERSION BELOW
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J’ai dernièrement mis la main sur une 3DS et Super Street Fighter IV 3D.

Vous devez vous demander « mais pourquoi Super Street Fighter IV 3D? ». J’ai déjà joué à la version Playstation 3, donc j’avais une base de comparaison. Les autres jeux qu’il avait étaient Lego Star Wars et Asphalt. Super Street Fighter IV 3D était celui avec le meilleur effet 3D, même si la plupart des représentants semblaient penser que Pilotwings avait le meilleur 3D. C’est à s’y attendre de la part de Nintendo de prendre la plus du potentiel de ses technologies.

J’aimerais maintenant commenter sur le design de la console elle-même. Elle est un peu plus lourde et épaisse que la DSi, mais a des éléments intéressants. The stylet télescopique es tune addition qui sauve de l’espace, le bouton d’activation est à l’intérieur, empêchant les fermetures par accident, et la disposition des boutons est similaire à la DSi.



La console en question.


Le Pad-directionnel est adéquat, mais un peut manque un peu de résistance. Je suis habitué de jouer Super Street Fighter IV sur une Playstation 3, donc les attaques spéciales sont plus difficiles à activer. Le pad est un peu bas sur la console donc la console donne l’impression d’être plus lourde à cause de la prise en main. Le pad circulaire est intéressant. Je préfère un joystick, mais ça marche tout de même. C’est tout simplement un rond plat avec une petite courbe interne pour votre doigt. Il suffit de le pousser dans la direction désirée. Vous ne poussez pas le pad vers le bas, mais juste sur les côtés. Le stick a un peu de force feedback et va retourner à sa position initiale si vous enlevez votre pression. J’aimerais un peu plus de feedback, mais c’est quand même meilleur que la PSP en tous points. Les boutons L et R sont plus bizarre. Ils sont plus petits, plus résistants à l’appui. Je ne peux pas decider lequel je préfère entre l’ancienne version et la nouvelle. J’aurais besoin de jouer à plus de jeux qui l’utilisent souvent pour voir quel est le meilleur. Pas trop « clicky », ça marchais bien. L’écran tactile… c’est un écran tactile. Le manque d’un deuxième pad circulaire est une faute plus grave. Sans conteste, les joueurs gauchers vont se fâcher face à des jeux qui requièrent le pad circulaire et le stylet en même temps comme Kid Icarus: Uprising.

... SAKURAIII!!!

Donc le démo avait tous les personnages, mais menait automatiquement au mode arcade pour deux combats. Vous avez le choix de la langue (y compris le Français), et il vous laisse choisir le style classique ou dynamique et ensuite, le jeu vous dirige vers l’écran de sélection des personnages. Enfin, combats. Le jeu est pas mal un clone de l’original. Si vous avez la version console, ne vous attendez à rien de nouveau. Les graphiques sont bons, entre la Wii et la Xbox 360. Avec un écran plus petit, la résolution lui donne une belle allure. Mais il n’y a aucune raison de se procurer ce jeu sauf si vous n’avez pas la version console ou être un fanatique de Street Fighter. Si la connexion Wifi de Nintendo est bonne, alors il y a la possibilité de jouer partout. Il va y avoir des extras dans la version finale, mais c’est tout de même un simple remake d’un jeu récent avec peu d’extras.



le titre.


J’ai joué au style classique puisque c’est comme ça qu’un homme joue à des jeux de combats. Le pad directionnel me donnait une drôle de sensation puisque je suis habitué à la version PS3. Le pad semble pouvoir marcher bien avec des personnages qui requièrent des motions circulaires comme Hakan. Par contre, j’ai plus joué avec Ibuki. L’écran tactile avait une sélection custom de deux attaques spéciales, une attaque « Super » et une attaque « Ultra ».. Ceci vous permet d’activer des mouvements plus difficiles en tapant sur l’écran. C’est mignon, mais pas nécessaire. Ceci vas être désactivé par la plupart en ligne.

L’effet 3D n’a rien avoir avec des choses qui sortent de l’écran comme certains semblent penser. C’est plus une question de voir comme si on regardait à travers une fenêtre. Les objets ont de différentes profondeurs et des éléments ont l’air plus loin à l’opposé de plus proche. Les gauges, les personnages est les arrières plans sont plus facilement différenciés, et cette touche était bien. Plus vous poussez le glisseur qui contrôle la profondeur, plus l’effet est fort. De plus, le 3D n’est pas toujours actif. Certaines portions du jeu vont désactiver le 3D. Vous allez le savoir avec une petite lumière “3D” sur le côté droit de l’écran. Je ne vais pas vous mentir, vous pourriez vous sentir étourdit au début. Vous devez vous laisser un peu de temps d’adaptation, mais après une heure et demie environ, vous devriez être habitué selon mon ami. Après moins de 30 minutes, je pouvais aussi voir une amélioration. Un élément agaçant est que pour que le 3D marche, le 3D ne doit absolument pas être en angle et à une certaine zone de distance. Certains avec des visions imparfaites pourraient ne pas apprécier. Par contre, l’effet 3D peut être réduit et même enlevé à votre guise. Je suggère de progressivement augmenter le 3D

En sommes, c’est mignon, et pas trop “Gimmick”. J’ai aimé avoir le choix d’utiliser cette option ou pas, contrairement aux motion de la Wii. *Branle son bras de colère*

Et un petit extra: J’ai joué à un mini jeu dans le canal de musique où on vole dans un avion en tirant des lasers en volant dans des ronds. Laissez-moi vous dire ceci : Il y avait vraiment une impression de motion. J’ai maintenant plus hâte à Star Fox 64 3DS.

En conclusion, l’effet 3D est moins une gimmick et plus une option. J’était très cynique face à cette console avant de l’essayer et j’ai changé mon avis.


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English version
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I recently got my hands on the 3DS and Super Street Fighter IV 3D.

So you might be wondering “Why Super Street Fighter IV 3D?”. I already played the original 2D version, so it serves as a good basis of comparison, and the other two games he had were Lego Star Wars and Asphalt. He also told me that Super Street Fighter IV 3D had the best 3D effect of the 3, although some of the other volunteers said that Pilotwings had even better 3D. It is to be expected that Nintendo would make the most use of its own console’s capabilities.

Now I’d like to comment on the console design itself. It is a little heavier and thicker than the DSi, but it also has amusing features. The telescopic stylus saves some space, the Power button is inside, preventing you from accidentally close your system, and overall, the disposition is very similar to the DSi.



The console.


The D-pad is all right, although a little clicky. I am used to playing Super Street Fighter IV on a Playstation 3, so moves were hard to pull off. The D-Pad is a little low on the system, so the console feels heavier because of the way you hold it. The circle pad is interesting. I prefer a joystick, but it gets the job done. It’s really a flat circle with a curvature for your thumbs that you push in the direction you want to go. You don’t drag it down; it remains at the same level. However, it does have some force feedback and will naturally go back to its initial position if you let it go. I would wish for a little more force feedback, but it’s not bad overall and beats the PSP controls in every way. The L and R buttons are strange, much smaller, more force feedback. I cannot decide which I prefer between the old and the new. I would need to play a game that uses those extensively. The action buttons are fine. Not too clicky, and I thought they worked fine. The touch screen is… well… a touch screen. The lack of a dual circle pad control is a big flaw, which will obviously make left-handed players rage while playing stylus/circle pad games like Kid Icarus: Uprising.

... SAKURAIII!!!

So the demo had the full roster but automatically put you in arcade mode for two fights. It lets you choose your language, and then lets you choose the classic or dynamic perspective, then puts you in the character selection screen and on to fighting you go. The game is pretty much a clone of the original. If you have the game on home a console, don’t expect anything new. The graphics were good, midway between the Wii and the Xbox 360. With the smaller screen, the resolution made it look good. But really, there is no reason to buy this game unless you don’t have it yet or are a huge Street Fighter fanatic. If Nintendo’s Wifi connection is good, I guess you could play it elsewhere. There are going to be extra features when the final version comes out, but it still is a remake of a very recent game with little extra content.



The title.


I played classic style because that’s how real men play fighting games. The D-pad felt weird, but it may be because of my PS3 habits. The circle pad seems like it could work good with characters with moves that require circular motions like Hakan, though I mostly played Ibuki. The touch screen had a custom selection for two special moves and the super and ultra combos. This lets you perform a harder to pull move with a tap on the screen. It’s nice, but also unnecessary. This will most often just be deactivated in online play.

The 3D effect is not about stuff coming out of your screen like people seem to think. It’s more like if you had a window and were looking through it. Things have different “depth”, in other words, some elements seem “farther” as opposed to “closer”. The gauges, characters and backgrounds were most clearly differentiated, and that touch was nice. The more you slid your depth slider up, the more the effect was poignant. Also, 3D is not always active. Some parts of the game disable 3D. You will know with a little “3D” light at the right side next to your screen. I will not lie to you; you might feel dizzy at first. You need to give yourself some time to adjust, but after about an hour and a half, you should be fine according to my friend. After less than 30 minutes, I could also see an improvement. One annoying feature is that for the 3D to work, you cannot tilt your 3DS and you need to keep it at a certain distance. People with bad eyesight might be turned off by this. Although the 3D effect may be dampened or removed altogether. I suggest progressively increasing the 3D to get used to it.

So all in all, it’s cute and not too gimmicky. I enjoy having the choice to use the feature or not. *Shakes fist in anger at the Wii*

And a little extra: I tried a little minigame in the music channel where you fly a plane and shoot lasers as you move through circles. I’ll only tell you this: you really felt like you were moving. I am now hyped for Star Fox 64 3DS.

In conclusion, the 3D effect feels less like a gimmick but more like an option. I really was cynical about the system prior to trying it, and I changed my mind.

28 février 2011

Cinéphile Buck dans... Ator l'invincible

Oh oui! Parlons un peu de cinéma d'exploitation italien. J'ai eu le plaisir de revoir récemment le chef d'œuvre cinématographique qu'est Conan le Barbare. Avec ses plans de vues époustouflants, ses décors et costumes élaborés, sa trame sonore légendaire, et bien sûr, Arnold! Dans l'ombre de ce grand film se dresse malheureusement un autre... Réalisateur italien Joe d'Amato sortit la même année le désastre dont je vais vous faire part aujourd'hui.


Oh la la, que ça commence mal... L'affiche est un mensonge! Regardons la en détails les amis... Au centre, nous avons Ator, dignement représenté. C'est relativement fidèle au film, mais jamais pauvre Ator n'aura la dignité qu'il inspire sur l'affiche. Le serpent, passons outre cette fausse copie de Conan. Non, ce qui est le plus dérangeant avec le serpent... Il est complètement absent du film! Une tentative désespéré de nous faire croire que nous écoutons quelque chose qui se mesure à Conan... Ha! Finalement, l'archère à l'arrière. Dans le film, elle est blonde... et blonde à perruque. Ça passe, mais elle est vêtue aussi dans le film, donc rien à voir avec ce que l'on voit sur l'affiche. Ouf... Passons au film maintenant...

Présentation

Le film débute avec des images de flammes et de la musique calqué directement sur l'ouverture de Conan le Barbare. S'en suit alors une interminable narration avec des photos d'archives de montagnes. En gros, l'histoire dit qu'un enfant descendant d'un héros ancien naîtrait avec une marque et son destin serait de vaincre le roi araignée, le tyran gouvernant sur "La Vallée" (Habituez vous à l'absence chronique de nom dans ce monde). Pendant un soir d'orage (ou filtre bleu avec effet sonore de tonnerre), naît l'enfant avec la marque. Des gens viennent le chercher et se sauvent avant que les soldats puissent vérifier si l'enfant portent la marque. Quelqu'un (comme je vous disais, pas de nom!) parvient à couvrir la marque avec... quelque chose et fuit avec l'enfant vers un village à l'extrémité de la vallée pour être élevé par une famille.

Plusieurs années plus tard (le film n'est bien entendu pas assez courtois pour nous indiquer cette transition clairement), l'enfant avec la marque grandit en Ator (Miles O'Keeffe). Pendant ses escapades dans les prés avec sa sœur Sunya (Rizta Brown), les deux déclarent leur amour l'un pour l'autre, mais lamentent qu'ils ne pourront jamais se marier dans ce qui doit être le dialogue des plus louches du film.
Ator: I love you.
Sunya: And I love you.
Ator: Why can't we marry?
Sunya: Ator, we are brother and sister.
Ator: I'll talk with our father.

Ouf... Étrangement, le père des deux amoureux est absolument ravi d'entendre que son fils adoptif et sa fille veulent se marier. Il en profite alors pour révéler à Ator qu'il est adopté et qu'il pourra marier sa sœur s'il veut. Le mariage a lieu, mais oh noes! Le roi araignée décide d'attaquer le village à ce moment là avec son armée de 8 soldats. Tous se font tués sauf Ator qui est laissé pour mort et Sunya qui est fait captive. Désirant à tout prix sauver son amour et sa sœur (...non, c'est trop LOUCHE!!!!) Ator devient disciple de... quelqu'un et commence un entrainement bidon avant d'entreprendre sa quête. En route, il croisera l'archère blonde et un ourson avec de curieuses taches blanches...

Critique

Je dirai ceci à propos de ce film, il est drôle. Je ne sais pas si c'était intentionnel, mais c'est absolument impossible de le prendre au sérieux. Le scénario est rempli de trou béant, le dialogue ridiculement forcé, les acteurs atrocement mauvais, les scènes de combat terrible, les costumes risibles et sans efforts et le combat final des plus mauvais que je n'ai jamais vu!

Verdict

Ouf... que dire à propos de ce film. Faut le voir pour le croire. Entre amis avec une quantité appréciable de boisson, c'est 98 min. de plaisirs garantis. Mais, vous savez ce qu'est le pire dans toute cette histoire? C'est que ce film est le meilleur de la série! Quoi??? Il y en a d'autre! Oh oui mes amis, Joe d'Amato reviendra en force avec ses suites d'Ator. J'oserais même dire que c'est le Friedberg et Seltzer des années '80.

Tout va en déclinant à partir d'ici... ayez très peur!

23 janvier 2011

Le style backhand

English title : The backhand control style.
CTRL + F and type ENGLISH for English version.

Bien, j’ai dit à certains individus que je jouais aux jeux videos avec le style “Backhand”, la plupart des individus ont de la difficulté à me croire. Donc j’ai posté ce vidéo centre sur mes mains en train de pratiquer de techniques avancées de Super Smash Bros. Melee. J’aime les commentaires. Ils sont bons pour mon égo.

Je joue ainsi Durant les tournois, et je me considère plutôt bon en jeux vidéos en général, alors je fais toutes une impression. Allez voir!
[Lien après la version anglaise]



Un chaton rend tout meilleur.



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ENGLISH
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Well, I always told people that I played video games using the backhand style, but unless they see it, they just can’t believe it. So I posted this video of me practicing technical skills in Super Smash Bros. Melee, but focusing on my hands. There is no sound, but I like the ego-inflating comments.

I do tournament play in this manner and consider myself pretty good at games in general, so I make quite an impression. Enjoy!





Kitties make everything better.

21 janvier 2011

Steams de Project M

English title: Project M streams.
Scroll below for the english version

Petit update mineur:

Voici des liens à des streams de Project M en ordre approximative d'activité. Le weekend est votre meilleur chance d'en voir.

http://www.ustream.tv/channel/jcaesar-brawl

http://www.livestream.com/stprojectm
http://www.ustream.tv/channel/dantarion'...tream-test
http://www.ustream.tv/channel/dantarion-plays-stuff
http://www.ustream.tv/channel/p-m-smashmac
http://www.ustream.tv/channel/jiangjunizzy
http://www.ustream.tv/channel/glickisrad


On va aussi avoir droit à un curseur de la même vitesse que Melee pour légèerement faciliter la sélection des personnages. C'est une petit découverte de Dantarion. :).



L'avis de Snake sur Project M.


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ENGLISH:
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Very small update

Here are Project M Streams in the order in which they are more active if approximated. Weekends seem be most active.


http://www.ustream.tv/channel/jcaesar-brawl

http://www.livestream.com/stprojectm
http://www.ustream.tv/channel/dantarion'...tream-test
http://www.ustream.tv/channel/dantarion-plays-stuff
http://www.ustream.tv/channel/p-m-smashmac
http://www.ustream.tv/channel/jiangjunizzy
http://www.ustream.tv/channel/glickisrad

We will also get a Melee cursor to ease character selection. It's a little thing Dantarion just discovered. :).



Snake's opinion on Project M.

15 janvier 2011

Rétrospective: Super Smash Bros / Project M, démo bientôt!!

English: Retrospective: Super Smash Bros / Project M demo soon!!
Scroll down for an english version:

Quand Super Smash Bros est sortit sur la Nintendo 64, j’étais encore jeune, j’ai mis la main dessus parce que la boîte avait Mario et Pikachu dessus. J’ai supplié ma mère de l’acheter, et mission accomplie, je rentre chez moi avec un tout nouveau jeu.



La boîte... J'utilise trop souvent cette citation



2 janvier 2011

Cinéphile Buck dans... Defendor

Cinéphile Buck voudrait vous souhaiter d'abord et avant tout une superbe nouvelle année!!!!

Pour ma première critique de 2011, je vous présente aujourd'hui un petit film que j'ai eu la chance de voir tout récemment. Plutôt obscure, j'ai eu recours aux forces occultes de l'internet pour apprendre l'existence de ce film canadien: Defendor.


Une comédie?

Présentation

Le film suit les mésaventures d'Arthur Poppington (Woody Harrelson), un simple homme avec un handicap mental. Le soir, il revêt un costume de superhéros et incarne "Defendor". Comme dans tout film de superhéros, la ville est au prise avec un problème incessant de crime, corruption et impuissance de l'autorité devant la menace des criminels qui règnent en maître. Le film s'ouvre sur une séance d'Arthur avec sa psy Dr. Park (Sandra Oh). On apprend qu'Arthur est actuellement en procès pour avoir attaquer le propriétaire d'une buanderie. Un petit retour en arrière nous décrit alors comment il s'est retrouvé dans cette situation. Avec son costume bidon, mais étrangement élaborée, il parcoure les rues la nuit à la recherche de son némesis fictif: Captain Industry. S'attaquant à un policier corrompu (Elias Koteas), Defendor parvient à se lier d'amitié avec une jeune adolescente prostitué (Kat Dennings) qui profite de sa naïveté et honnêteté. Cette dernière finira par s'attacher à Arthur et même à l'aider dans sa quête.

Critique

Ce film est classé comme une comédie. Ceux comme moi qui s'attendront à un scénario comique avec un superhéros incompétent à la Mystery Men, seront très franchement déçu. Cela ne veut pas dire que l'humour est entièrement absente du scénario, mais loin d'être l'axe centrale. Il s'agit au mieux de satire et d'humour très noir. Mis à part la catégorisation étrange du film, les décors, effets sont ordinaires mais servent bien leur but. Les personnages des criminels sont peu développés, peu présent et plutôt cliché. Cependant, ceci n'est très grave puisqu'ils ne sont pas véritablement la cible de ce film.

Les acteurs dans ce film jouent des performances remarquables et époustouflantes. Woody Harrelson vole la vedette en tant que Defendor ET Arthur, nous offrant un personnage auquel il est dangereusement facile de s'attacher. Les autres acteurs apportent l'appui nécessaire pour faire vivre le scénario et lui donner la profondeur que l'on ne s'attendrait pas du tout à voir dans ce film. Je ne me considère pas comme une personne très émotive, mais ce film m'a presque fait fondre en larme. Une histoire très chargée en émotion où l'on veut voir le héros triompher malgré la cruelle réalité. Sans vouloir tout gâcher, ne vous attendez pas à une fin Hollywoodienne d'un film de Superman.

Verdict

À voir absolument! Malgré le tournant plus sombre du film, c'est un message d'espoir qui est véhiculé. L'histoire d'un homme ordinaire qui s'insurge contre ce système établi et inspire d'autres.