Une tribune, une soif commune d'expression.

25 décembre 2010

Donkey Kong Country Returns avec manette classique!



La boîte.



Ça fait un moment que je n’ai pas contribué à ce blog, alors je me rattrape avec un article hors du commun. Je vais vous apprendre comment hacker votre Wii et jouer à Donkey Kong Country Returns avec une manette traditionnelle. Fini les actions par inadvertance suivant un simple étirement. Alors voici la méthode la plus simple:

• Une Nintendo Wii fonctionelle.
• Une Carte SD (2GB ou moins si ancienne version de la Wii).*
• Une copie de Super Smash Bros. Brawl.

21 décembre 2010

Plus que ce que le client avait demandé

J'étais curieux de trouver une version «orchestrale» de chants patriotiques québécois, et je suis tombé sur ceci, «Mon pays», de Gilles Vigneault, interprété par le Choeur de l'Armée rouge. Sans surprise, ce vidéo se ramasse ici !

20 décembre 2010

Détesteur

Je vous présente ici mon deuxième essai à exploiter le filon créatif de la haine. Cette émotion, au demeurant généralement violente, est souvent des plus étranges. J'irai droit au but : depuis l'hiver dernier, je suis pris d'une inexplicable aversion pour les manteaux Canada Goose.

16 décembre 2010

Cinéphile Buck dans... The Wild Hunt

Il y a ses films qui nous font rire et nous divertissent pendant un petit moment. Il y a ses films qui nous font regretter de les avoir écouter. Puis, il y a ses films qui nous font réfléchir et nous donnent le goût de les analyser en profondeur. Sûr ils sont moins apprécié par le commun des mortels, mais personne ne peut douter de leur incroyable qualité cinématographique. Que ce soit par leur techniques uniques de cinéma ou bien par leur scénario évocateur. Le film que je vous présente aujourd'hui est un petit bijou que j'ai eu la chance de voir récemment: The Wild Hunt.

Clin d'œil aux légendes celtiques

Présentation
Le film est très simple. Erik (Ricky Mabe) vit des problèmes dans sa vie monotone où il doit s'occuper de son vieux père. De plus, sa copine Evelyn (Tiio Horn) se fait de plus en plus distante. Le laissant seul pour participer à des grandeurs natures. Erik décide de confronter Evelyn une fois pour toute. Il décide de la rejoindre dans le GN où elle participe pour enfin lui révéler ses sentiments. À ce moment, il découvrira alors que la réalité et la fiction sont étroitement relié dans se monde qui lui est si étranger. Dans cet univers fictif, Evelyn est prisonnière du shaman Murtagh (Trevor Hayes). Il devient alors apparent qu'Evelyn est peu encline à se faire sortir de ce monde fictif. Erik, avec l'aide de son frère Bjorn (Mark A. Krupa) parvienne à s'immerger dans le jeu et secourir Evelyn. C'est à ce moment que la frontière entre réalité et jeu se scinde...

Critique
Honnêtement, je n'ai aucune critique négative légitime envers ce film... Sérieusement, tous les éléments d'une tragédie/thriller sont présents. Les plans de vue, les décors et les costumes sont tous très bien réussi. Les prises de vue du Duché de Bicolline sont excellentes et servent très bien leur but de nous montrer la transition réalité --> GN. L'ambiance est absolument remarquable et la cadence excellente. Peut-être que certains critiqueront la tournure très sombre de se film vers la fin, mais ce tournant dramatique illustre parfaitement ce que le film véhicule dans son histoire. Peut-être que certains pourraient dire que les scènes de dialogue ou séquences sont lentes, mais je trouve que cela ajoute à l'atmosphère riche et envoûtante du film. D'autres diront que l'idée du dénouement est vraiment surréaliste et inconcevable dans notre psyché humaine, mais c'est matière à débat (et l'a été lors de mon visionnement du film)

Verdict
Je conseille ce film à tous les amateurs de thriller et en particulier à tous ceux qui font/ont déjà fait des grandeurs natures. Ils y trouveront bien leur compte, peut-être même reconnaitront plusieurs personnes de leur entourage dans les personnages secondaires. Pour conclure, c'est simplement un bon film. Même si je sais que cette critique est faiblement écrire et sans aucun doute peu convaincante, faites-moi confiance. Ce film vaut la peine.

15 décembre 2010

Et nous y voici, et TRON

Avec l'engouement que la machine Disney ne manque pas de susciter face à sa résurrection de Tron, cette première bande annonce nous permet de constater que du chemin s'est fait depuis le produit fini qui inondera les salles de cinéma très bientot !




La ressemblance n'est pas fortuite, le clip de Pierre Lapointe est inspirée du film de 1982 dont le prochain Tron est la suite.

13 décembre 2010

Lettre ouverte aux donateurs libéraux

Après plusieurs tergiversations, je crois que je devrai revenir avec plus de tact sur mes propos et sur la question du financement des partis politiques. C'est pourquoi je ne crois plus à la pertinence de cette lettre ouverte. J'en laisse toutefois les points essentiels, car je déteste me dédire.

  •  Étant généralement opposé aux vues du Parti libéral, je considère comme adversaire ceux qui le financent. Une adversité tout à fait légitime en démocratie et parfaitement réversible, je suis moi-même adverse dans mes actes par rapport à des tas de gens.
  • J'estime que la propension des élites fédéralistes  a déjà démontré que sa propension dominante fut de tricher plutôt que de perdre, au nom de la raison d'État canadienne.
  • J'ai l'intuition que le parti libéral est de loin la formation québécoise profitant le plus de dons généreux
  • La proposition du PQ de plafonner les dons annuels aux partis politiques à 500$ n'est pas vertueuse. Elle résulterait en une perte sèche considérable pour le PLQ par rapport à l'impact sur les finances péquistes.
  • À mots couverts et en les traitant de «cibles», le Réseau de résistance du Québécois effectue un appel à la haine de sang froid contre les grands donateurs du parti libéral. Je ne crois pas qu'il s'agisse d'une démarche fondée et productive. Pis encore, je ne crois pas qu'il puisse être soutenu raisonnablement que cette démarche est moins immorale que celle de donner généreusement au PLQ (pour autant que cette dernière démarche soit effectivement considérée immorale)
  • Je crois qu'il est de bon ton de présenter mes excuses aux libéraux honnêtes et de bonne foi qui contribue tout comme je le fais à une formation politique qu'ils estiment la plus apte à représenter leur idéaux dans l'État et à l'Assemblée nationale.
  • Par contre, je persiste à emmerder les gens malhonnêtes qui contribue à une formation politique dans le but d'en récolter des avantages futurs sous la forme d'octroi de l'État ou de quelconque favoritisme, patronage. Je les dénonce quelle que soit leur obédience politique, car ne nous berçons guère d'illusions, un ministère péquiste amènerait probablement au PQ sa part de donateurs «indésirables».
  • J'exprime le souhait pieux que tous les souverainistes et les nationalistes et les indépendantises et autres caribous partisans d'un Québec libre puisse oeuvrer au mieux-être de la Nation plutôt qu'à de petits complots réconfortants mais sans dessein.


12 décembre 2010

Cinéphile Buck dans... Dead Snow

Je vais malheureusement mettre mon petit projet de Vamporama sur la glace pour un petit moment, par manque de motivation et d'idée de film. Parlant de glace, le film que nous avons aujourd'hui est un spécimen particulièrement intéressant. Je vous pose la question, qu'est-ce qui est plus terrifiant qu'un zombie ou un nazi? Oui, en effet, des zombies nazis! Une horreur que nous révèle ce petit joyaux de cinéma norvégien: Dead Snow.

Tag line absolument génial


Présentation

Dead Snow n'est pas vraiment un film d'horreur bien original. Il commence bien entendu par nous présenter la mort d'un personnage que nous ne connaissons pas avant de nous présenter le titre et les personnages principaux. Ces derniers sont un groupe d'étudiants de médecine en route vers un chalet perdu dans les montagnes. Une prémisse d'ouverture si cliché que même les personnages mentionne que c'est comme un film d'horreur. Le soir même, ils sont visité par le stéréotype vieillard rural qui leur explique l'histoire de la région, où elle servait de base à un groupe de soldat nazi particulièrement violent qui ont été tué vers la fin de la guerre. Avant que l'on puisse en connaître plus sur ce personnage, il est tué quelques séquences plus tard. Au même moment, les étudiants découvre un coffret sous le chalet contenant de nombreux objets d'or frappés des années '40. Ainsi est le déclenchement de la blitzkrieg zombie et la folle tentative de survie...

Critique

Inutile de critiquer le scénario pour son originalité. C'est une histoire que nous avons vu des millions de fois. De plus, peut-être est-ce la traduction, mais le dialogue entre les personnages est absolument bâclé, certaines répliques n'ont parfois aucun lien entre elle. Plusieurs dénouements d'actions sont complètement horrible et impossible physiquement: Tenir suspendu par les tripes d'un zombie, faire éclater le rebord d'une falaise avec ses pieds et survivre à une chute de plusieurs centaines de mètre...Je sais que d'ordinaire je vous présente tous les personnages principaux ainsi que les acteurs les incarnant, mais ceux-ci ne contribuent pas à la trame narrative du tout et pourraient être remplacé par n'importe qui!

Mais bon! Personne n'écoute un film de zombie pour les omissions mentionnés plus haut. Les zombies, mis à part leur grognement peu zombi-esque, sont très bien réussi et ressemblent légitimement à des soldats allemands. L'affrontement final entre les étudiants et zombies regroupent tous les éléments que l'on recherche dans un film de zombie: Shotgun, chain-saw, hachette, marteau et faucille (hihi, l'URSS vainc les nazis). Et aussi, l'arme la plus dévastatrice: la moto-neige avec une mitrailleuse montée! Même sans la mitrailleuse, le ski-doo fait au moins quatre victimes. La bataille finale est géniale, mais devient ridicule vers la fin.

Verdict

En tant que film d'horreur, ce film échoue. Peut-être que l'ambiance n'était pas approprié pour susciter crainte quand je l'ai écouté, mais j'en doute. Le scénario est simplement trop cliché et la cadence trop lente. Cependant, il vaut la peine d'être vu simplement pour l'affrontement final (Une des choses les plus épique que j'ai vu depuis un certain temps) et l'idiotie grave des personnages principaux. Le film est aussi Evergrey approuved, car il nous montre la mort de la hippie du groupe d'étudiant.

Voilà! Un petit message pour les trois personnes qui lisent mes chroniques: Merci! Et n'hésitez pas à ajouter des commentaires!

9 décembre 2010

Sans chercher de fil conducteur

Le lecteur de BD en ligne (bédéweb ? bande dessinée virtuelle ? Oh, comme je m'ennuie des lumières de l'OQLF !)... où en étais-je ? Ah oui ! Le lecteur de BD en ligne que je suis se frotte souvent, par la force des choses, à différents éléments de la sous-culture «gamer» sur Internet. The Guild est l'un des éléments de cette culture électronique qui revient sans cesse sur mon écran radar, bien que j'ai jamais vraiment réussi à y accrocher. Malgré mes autres affinités, je dois me rendre à l'évidence que je suis encore néophyte en matière de webtélé et que n'étant pas rompu aux jeux multijoueurs en ligne, je ne suis peut-être pas dans le public-cible de la série.

Mais n'allez pas penser que ça suffit à m'empêcher d'apprécier ce vidéoclip de l'exquise Felicia Day !